Ce signal était un signe qu’il y avait du monde à bord.
Quand je dis du monde, je veux parler de certains skippers et de beaucoup de techniciens. Ces gens que l’on voit travailler sur les bateaux, ces derniers ont veillé à tour de rôle toute la nuit, se relayant pour assurer des quarts. « Ils ne naviguent pas pourtant ! » , non, ils protègent ces machines des mers, ces bêtes de technologie, qui paraissent si fragiles face à la tempête.
En complément de ces veilleurs et veilleuses, la direction de course avec son équipe était en stand-by, si une alerte était donnée.
Pas besoin de tous les remercier, mais il ne faut pas oublier que même dans la tempête il y a des petites mains qui sont présentes de jour comme de nuit, pour assurer le bien-être de nos monstres des mers.
Sincèrement, il n y a pas ça en formule 1😀
Article écrit en mode veille à 2h22 du matin par un technicien qui retournera voir si son bateau ne bouge pas trop d’ici 20 min.
Mathieu Ravier, team Foussier – Mon Coutier Energie